Les bonnes pratiques #7
Thierry est Directeur commercial dans une PME. Suite à la réception d’un mail qui semble provenir d’un de ses collègues, Thierry a cliqué sur un lien proposé dans le corps du message. Mais… ce lien était piégé.
Résultat : Son ordinateur est désormais l’objets d’actions mal intentionnées. Il est utilisé pour envoyer des courriels malveillants diffusant des images pédopornographiques.
Il faut en effet être prudent car les courriels et leurs pièces jointes jouent souvent un rôle majeur dans les attaques informatiques.
Ouvrez vos mails autrement, nous vous enseignons les bonnes pratiques.
Lorsque vous recevez un courriel, l’identité de l’expéditeur n’est pas certifiée. Il vous faut vérifier la cohérence entre l’expéditeur présumé et le contenu du message afin vérifier et aboutir à la bonne identité de votre interlocuteur. Vous doutez ? Encore ? N’hésitez pas à contrôler en contactant directement l’émetteur du mail.
Les pièces jointes sont une source reconnue dans les attaques informatiques. N’ouvrez pas les pièces provenant d’utilisateurs inconnus. Méfier-vous tout autant des titres ou des formats qui semblent incohérents avec les fichiers que vous envoient habituellement vos contacts. Si vous identifiez des liens, passez votre souris dessus avant de cliquer. Ainsi, l’adresse du site s’affichera dans la barre d’état du navigateur située en bas à gauche de la fenêtre et vous pourrez alors vérifier la cohérence de la direction affichée.
Autre bonne pratique, ne répondez jamais par courriel à une demande d’informations personnelles ou confidentielles (code confidentiel, numéro et code carte bancaire …) car il existe des courriels présentés avec les codes graphiques d’institutions qui peuvent vous induire en erreur et récupérer vos données. Ces pratiques malveillantes sont le hameçonnage ou le phishing. Retrouvez les informations du gouvernement en cliquant ici.
Et s’il existait une pratique qui vous permettrait d’éviter toute mauvaise surprise quotidienne, ce serait de désactiver l’ouverture automatique des documents téléchargés et lancez une analyse anti-virus afin de vérifier qu’ils ne contiennent aucune charge virale connue.
Source : ANSSI
Vous avez envie de nous suivre ? Nous sommes sur les réseaux sociaux Facebook, Twitter et Linkedin. A tout de suite !